Aliséa Phantomhive Admin
Mes info' ~ Messages : 43 Date d'inscription : 03/05/2011
| Sujet: Fiche de mon romans. Mer 25 Fév - 18:30 | |
| Projet de roman " C'était notre histoire " TITRE PROVISOIRE : C'était notre histoire ou L'histoire d'un souvenir
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| ♦ Style : Drame ♦ Nbre de tomes : 2 ou 3 ♦ Nbre de personnages : ~10 ♦ Autre : Roman illustré
♦ Mention complémentaire : viol, meurtre, tragédie, abandon, mort, sacrifice, trouble temporel, réincarnation, sexe et amour |
Dans la généralité… L’histoire raconte la vie d’une jeune comtesse anglaise (Aliséa Julia Thomson) Mais il y a aussi des histoires secondaires comme celle d’Alicia qui devient au final principal. Je m’explique… Le roman commence en se basant sur l’histoire de Aliséa, mais quand son histoire est fini, elle s’attaque plus en détail à la vie de Alicia, c’est une sorte de dégrader. Un peu dans le style : « Il était une fois, une jeune fille X qui adorait joué à la balle. Elle adorait y jouer avec son amie Y. Quand elle fut grande, X se maria et eu une vie heureuse ! Tandis que Y elle avait une vie horrible. Plus tard Y connu une fin atroce… »
Je ne sais pas si on voit bien le dégradé x)
Bref, la vie de cette comtesse est pour le moins horrible et TRES longue (viol à répétition, meurtre, maladie, démon, trouble temporel…). Celle d’Alicia… Pareil mais … Plus simple (mort, difficulté, réincarnation). Mais elle aboutit à une histoire beaucoup plus complexe avec des réincarnations… Ce qui conduit à l’histoire de Sakuya, et sans doute Sine (qui sont au final très courte et totalement facultatif) … Mais qui sont le résultat de l’histoire de Aliséa. Aliséa en cassant sa boucle temporel a rompu des règles et à détraqué le temps. Ce qui cause des troubles, des réincarnations…. Voir de nouvelle dimension.
J'ai déjà fait quelques esquisse du début... Mais rien ne me plait. Je vais sans doute le refaire...
- Début:
Notre histoire commence en 1842, en Angleterre, non loin de la magnifique ville de Londres. L’hiver de l’année précédente avait été rude pour les paysans, seuls quelques-uns avaient réussi à passer de bonnes fêtes et les autres réussirent ne serait-ce qu’à sur-vivre. Mais aujourd’hui, nous sommes au printemps. A la belle sai-son des fleurs et des plantations dans les champs. Nous sommes précisément le 11 juin 1842… Il plane dans l’air une lourde chaleur mais l’oxygène reste respirable. Une douce brise se fait sentir de temps à autres, laissant sur son passage les brins de blés se couché sous sa caresse rapide. Le chant des oiseaux se fait entendre comme un écho dans la montagne … Agréablement mais pas trop. Les champs de blé, justement, sont en pleine maturation et dans ses derniers est allonger jeune personne est allonger. Les tis-sus vermeils composant sa robe laisse s’engouffrer le vent pour on-duler dans le vide, dans l’espace. La main gracieuse de sa proprié-taire tourne feuilles après feuilles les pages de l’épais libre soigneu-sement déposer sur un mouchoir pour ne pas en salir la couverture. Levant son fin nez en l’air pour humer l’odeur de l’herbe fraiche-ment coupé, la jeune fille prend le temps d’écouté le son des cloches de la célèbre cathédrale, Big Ben, bien que les champs soit éloigné de la ville, on peut deviner le tintement sourd percutions du clocher. Sous le coup de la surprise, le chapeau de la demoiselle s’envole un peu plus loin pour dévoiler les fins traits de son visage. Tournant sa tête vers l’autre bout du champ, elle put apercevoir une de ses sem-blables courir vers elle. Au bout de quelques secondes à peine, la nouvelle arrivant était planté net devant notre héroïne. Reprenant calmement son souffle avant d’engager la conversation :
« Tu m’avais pourtant promis de ne pas sortir aujourd’hui… - Shaya, soupira l’allongée, je n’ai plus 4ans… Je peux décider si oui ou non je sors. - Oui mais, père t’avais bien spécifié : pas aujourd’hui. - Merci de le rappeler à mon bon souvenir… - Eh bien soit, fait ce qui te plaira ma chère sœur... »
La jeune femme aux longs cheveux, semblant âgé d’environs 18ans, était dotée d’une chevelure aussi blonde que les blés, d’un visage aussi fin que celui des nymphes et d’yeux aussi bleu que le ciel d’été en plein jour. Tout le parfait contraire de sa sœur. Avec un léger soupçon de tristesse, les pupilles de la plus jeune des sœurs regardèrent avec regret la grande s’éloigné au loin, dans les champs de coquelicots, comme elle était venu quelques secondes aupara-vant. Changeant ensuite de direction, elles se fixèrent sur une des fleurs juste devant-elles, non remarquable jusqu’à présent pour cause de leurs lectures trop poussée. Un long soupir s’échappa des lèvres de la jeune fille avant de posé un marque page et de fermer le livre, laissant ainsi apparaitre le titre de « Roméo et Juliette », l’histoire d’un grand amour, mais aussi d’un amour dramatique et quasi impossible et interdit. Un amour aussi grand et ouvert que le ciel mais perdu entre les nuages… Aussi blancs peuvent-ils être. Même si quelques rayons de soleil s’étaient fait sentir. Une fois le livre fermé, la demoiselle, dont le prénom restait un mystère, se releva doucement et secoua un peu sa robe pour lais-ser volé les brins d’herbe qui était resté collé puis, ramassa son libre comme un objet rare et précieux avant de le coller tout contre sa poitrine et le caché de ses mains, s’emparent de son protège couver-ture – le mouchoir – en l’enfonçant grossièrement dans sa petit poche de robe. Robe d’un joli bleu pâle, ornée de fine dentelle blanche. Mais le plus étrange dans la tenue de cette lady, c’était le béret qu’elle venait de passer cousue de motif lapin de fils dorée, elle était tout sourire en le mettant sur sa tête, comme si ceci sim-plement pouvait faire son bonheur. Le trajet parue bien court pour la damoiselle, mais le pay-sage était magnifique. On ne pouvait compter les oiseaux et les fleurs tant il y en avait … Ni reconnaitre toute les couleurs t’en on en découvrait. Les champs étaient soit remplis de blé ou plantation diverse, ou soit de fleurs multicolores dont le parfum si doux et puis-sant embaumait l’air que l’on respirait. Si l’on était attentif, que l’on prenait le temps et que l’on observait bien, on pouvait même aper-cevoir des lièvres courraient au loin ! Voir même, peut-être, de temps à autre, un cerf dont les bois serais la couronne de cette forêt qui protégeais et cachait se paysage à la vue des étrangers, ne facili-tant pas son accès comme un bouclier… Mais ce paradis prenait bien fin un jour. Notre héroïne se stoppa net devant une immense bâ-tisse. L’endroit était magnifique et bien conservé. Parfaitement sy-métrique, on aurait pu placer un gigantesque miroir au centre de ce manoir et ne pas voir la différence. Tout fait de pierre, sa couleur se rapprochais plus de l’ambre, un peu dorée. Les volets et les plaintes étaient faits de bois noir, surement de l’ébène ou une belle imitation. Grâce aux ranger de fenêtre, on pouvait deviner trois étages, un rez-de-chaussée et un grenier. Derrière gisais un grand jardin, mais moins beau que le paysage des champs. Une émotion de tranquillité et d’amour avait beau se dégager de la bâtisse, la jeune demoiselle avait du mal à y retourner. Avec regret, elle avança de nouveau et avança jusqu’à l’immense porte d’entrée, toute faite de bois et déco-ré de gravure floral et hivernale – flocons -.
Entrée dans le hall, qui était au passage tapis de velours vert et argenté, était grand. Un peu trop grand aux gouts de la fillette. Elle sourit à l’une des femmes de ménages avant de s’engager rapi-dement dans l’escaliers qui naissait devant elle pour se perdre en plusieurs chemins arriver aux premier paliers. Seul les gens aisés pouvaient s’offrir une telle chose fait de bois de chêne teinté de noir. Elle prit ensuite un long couleur du deuxième étage et poussa une porte de son petit dos pour l’ouvrir et s’y enfermé. Ouvrant les yeux, elle lâcha un léger sourire en se retrouvant dans sa chambre, s’avançant doucement pour poser le livre partiellement lu sur son bureau et retiré son béret en le posant sur une chaise prévus à cet effet. Puis, elle sa laissa tomber dos sur le lis, prenant une grande bouffée d’air. Le rêve de la campagne était fini pour aujourd’hui, du moins pour elle et la lecture de cette histoire d’amour pour le moins tragique sera reportée à plus tard. Une bonne dizaine de minute s’écoulèrent dans le calme avant qu’elle se lève pour retirer rapidement sa fine robe et qu’elle se plante devant le miroir, posant une main dessus en s’admirant brièvement. Elle voyait, de ses yeux, une jeune fille de taille assez moyenne, mais petite pour ses 13ans, du moins, trop petite pour elle… Un corps bien développé pour son âge, dont une belle poitrine bien formée. Son visage, tout aussi fin que celui de sa sœur mais plus banal… Dotée non pas d’yeux bleu ciel mais vert comme l’émeraude, c’était la seule partie d’elle-même dont elle était fière et aimait mon-trer. Ses cheveux n’était pas blond non plus mais … Brun, aux étrange reflets bleu clair. Passant ses deux pouces sous les brettelles de sa camisole, elle la laissa tomber pour se retrouver nue devant son miroir. Soupirant un peu, jalousant la beauté de sa sœur, ne voyant pas celle que le créateur lui avait offerte. Elle tapa lourde-ment son poing sur le bureau avant d’aller dans sa salle de bain per-sonnelle, assez petite. Prenant un bain rapide parfumé à la rose et à l’eau d’une couleur opaque pour cause de plusieurs plantes aux ver-tus plus que variée : apaisantes, relaxantes, adoucissantes… Elle sorti et s’enroula dans une serviette, se séchant ses courts cheveux dans une serviette blanche. Retournant par la suite dans la pièce comportant son lit et y attrapa une camisole propre et broder de fils dorés. L’enfilant, elle retourna ensuite brosser sa chevelure devant le miroir, puis elle se tourna vers l’armoire de bois ou était pendu une magnifique robe de bal couleur émeraude, s’accordant parfai-tement et en tout point avec ses yeux. Elle la passa, et retourna de-vant son miroir de bureau pour se coiffer, ne passant que qu’une paire de boucle d’oreilles composé d’émeraude, trouvant les autres bijoux inutile, futile et facultatif. Même née de très bonne famille, elle s’avait resté simple et vivre avec ce que la vie lui offrait. Fredon-nant un air calme et reposant, elle finit de se préparer dans la mo-destie et le monotone de son existante.
Aujourd’hui était un jour spéciale au manoir. On fêtait l’anniversaire de la fille cadette, notre héroïne actuelle. Nous fêtions son 13ème anniversaire, sa treizième années de plus dans ce monde parfois barbare avec elle mais aussi parfois aimable et bon. Pour l’évènement, peu de famille avait été convié. Le père, la sœur et la famille d’un oncle proche, le dit frère du père de la fillette, composé de l’oncle et son fils, la tante n’ayant pu se libéré pour voir sa nièce le jour de ses 13ans… Mais personne n’en tenait vraiment compte, la fête resterais modeste. Juste un souper en famille et peut-être quelques pas de dance ensuite. Mais ce qu’attendait surtout la jeune fille, c’était son cousin, elle lui portait une affection toute particu-lière, ne connaissant que lui comme garçon n’ayant que 2ans de plus qu’elle, donc 15ans. Mais, pour elle, l’âge n’avait pas d’importance et elle chérissait un amour secret pour lui, un amour discret, à peine voyant par elle-même. La demoiselle, depuis sa naissance, n’avait jamais été très capricieuse ou méchante, bien au contraire. Quand on lui demandait quelque chose, elle le faisait. Quand on lui disait d’aller avec son professeur et s’apprendre, elle apprenait… D’ailleurs ce dernier était assez fière d’elle qui était doté, d’après lui, je cite « d’une intelligence rare et d’une logique qui en désarmeras plus d’un ». A 13ans déjà, autant déjà la décrire comme une dame, une jeune petite dame de la société qui bientôt pourrait presque aller à la cours de Londres et saluer la Reine. Après tout, pourquoi pas ? Elle avait de bonne manière, des sujets de conversations inté-ressant voir passionnant quand elle y mettait tout son cœur et of-frait, en société, de la bonne humeur à en revendre… Mais là n’est pas le sujet de l’histoire.
Après avoir fini sa toilette et fini de s’habiller, la jeune fille sorti de sa chambre coiffer et légèrement essoufflée. Impatiente. Il était déjà tard, près des dix-heures et sa famille éloigné n’allait pas tarder à faire son entrée, chargé de la lourde tâche de les accueillir et les occuper jusqu’à le bon vouloir de l’apparition de monsieur son père. Elle avait beau avoir une conversation et une présence char-mante et requise, la jeune fille était à demi associable. Elle n’appréciait pas vraiment d’être trop entourée. Assez mal à l’aise par la présence des autres, cela explique donc ces nombreuses esca-pades aux champs pour lire au calme et dans la solitude. Mais quand on lui disait que son cousin serait de la partie, elle acceptait sans perdre une secondes. Arrivée en bas des escaliers, son oncle et son cousin était déjà là. Elle prit un léger sourire… Sourire n’était pas vraiment une habitude chez elle. Ses joues se tintèrent un peu de rose et elle s‘approcha d’eux. Faisant une légère révérence et un signe de tête à ses deux derniers, elle engagea la conversation dans une petite voix timide : « Bonjours à vous… En espérant que le voyage n’a pas été trop long, je m’excuse du dérangement… - Mais il n’y a pas de dérangement, cela nous fait plaisir d’être invité pour ce soir, réplique d’une voix tendre son cousin. - Tout est dit, fini son oncle, votre père est à l’étage ? - Oui, je crois que ce dernier vous attend mon oncle… - Bien, conclu-t-il.
Il attrapa aussi rapidement que délicatement la main de sa nièce pour y déposer un baisé de bonjour et de félicitation pour ses 13ans, avant de s’engager dans l’escalier, enjambant plusieurs marches à la fois. Laissant son fils seule avec la jeune fille. Cette der-nière parue gêné et ses rougissements ne furent que plus voyant. Son cousin, le jeune Pierre, fit de même que son père et déposa, pour sa part, un baisé sur la joue de la jeune fille, la faisant sourire. Il lui tendit par la suite son bras, l’invitant à le prendre pour aller mar-cher un peu. Elle s’en empara avec toute la grâce possible qui soit et commença à marcher vers la porte, dehors, puis dans le jardin, ad-mirant les arbres plantés par la main de l’homme ainsi que les fleurs et les rares rouges-gorges qui avaient le courage de voler par ici.
- Comment va ma comtesse préférée ? - A ravir, et vous cousin ? - De même …. Lâcha-t-il dans un rire cristallin, il traine un vent froid par ici, vous n’avez qu’une maigre robe … Vous ne craignez pas la maladie ? - Pas vraiment … Et puis, ce vent est agréable non ?... - Dois-je vous rappelez que vous avez la faible santé de votre mère ? - Je ne le sais que trop et c’est bien pour cela que j’en profite tant que je suis encore la ! » Acheva-telle dans un rire.
Elle lui lâcha rapidement le bras avant de faire quelques pas de plus que lui et tourner sur elle-même, lui prouvant qu’elle ne craignait, de ce faite, pas le vent. Pierre arqua un sourcil avant de retirer sa veste et d’aller la posé sur la jeune fille qui prit un visage boudeur en le laissant faire. « Vous me couvez trop mon cher, j’en suis fort peiné… - C’est que je tiens bien trop à vous pour vous perdre ma chère, je serais encore plus fort peiné d’apprendre que ma cousine a attrapé la maladie alors que j’aurais pu l’en empêcher. - Hmm … » Aucunes autres réponses ne sorti de la bouche de la jeune fille, assez ennuyé de la situation. Elle lève le nez en l’air et commence à admi-rer les nuages dans le ciel sous le regard attentif de son cousin. Quelques minutes passèrent avant qu’ils reprennent la conversa-tion. Des rires, des sourires échangé… Une famille tout à fait normal.
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